Veille informationnelle & analyse sociale
Plus que jamais, dans un contexte aujourd’hui fortement concurrentiel, les organisations doivent recourir à des dispositifs d’intelligence stratégique. Formé en sciences sociales et en techniques de veille informationnelle, je suis en mesure d’apporter la visibilité et le recul nécessaires aux actions des organisations. La complexité du champ social nécessite, en effet, de prendre en considération l’intégralité des environnements et de pouvoir identifier toutes les parties-prenantes des activités, qu’elles soient économiques, institutionnelles ou encore associatives.
- Accompagnement des politiques organisationnelles
Fruit d’une véritable collaboration avec le management, l’activité du communicant le place en support des politiques organisationnelles. Apportant un savoir-faire indispensable à la bonne marche des projets, mon rôle est de calibrer l’orientation stratégique et l’activité de prescription par une communication adaptée. En externe comme en interne, les changements organisationnels ont des conséquences sociales qu’il s’agit de moduler en fonction des catégories de personnes, des services ou des individus impliqués.
Le suivi de gestion des ERP (Enterprise Resource Planning), des GID (Gestion Informatique de Données) ou encore des CRM (Customer Relationship Management) mais aussi leur formation (organisation, élaboration de supports didactiques, présentation, formation in situ) font partie de mes compétences, ainsi que la refonte de référentiels internes en vue d’une certification normative.
- Gestion d’image et de notoriété
Le chargé de communication est aussi le garant de la visibilité et de la notoriété de l’organisation pour laquelle il exerce ses fonctions. Soucieux du respect des chartes éditoriales et graphiques sur toutes les productions visuelles, il veille notamment à l’homogénéité et à la qualité des supports de communication qu’il produit ou fait produire. Le maintien d’image et de notoriété passe par ce regard intransigeant que l’on retrouve également dans ses missions de relations publiques et de relations presse. Si le but avoué, à mi-mots, est d’inscrire toujours positivement l’organisation dans son contexte social immédiat, ces relations régulières qui s’étendent désormais aux réseaux sociaux, placent l’organisation sur le devant de la scène. Cette recherche de transparence n’est pas sans poser problème et, puisque l’on engage ici sa propre crédibilité, il s’agit pour le communicant de répondre rapidement et efficacement aux menaces potentielles, de plus en plus immédiates et publiques.
- Innovation, projets et certifications
L’organisation du travail et des activités en général, passe de plus en plus par une logique de projet, plus flexible, plus efficace mais aussi plus sensible. L’interaction des individus entre eux est d’autant plus malmenée qu’il s’agit non seulement de techniques de travail mais aussi d’entente, de cohésion et de cohérence. Le rôle du communicant est de faire en sorte que la communication au sein des organisations soit non seulement respectée dans sa verticalité mais qu’elle soit également transversale et ascendante.
C’est l’objectif des dispositifs que je peux mettre en place, tels que les blogs internes, les fiches de travail ou d’évaluation personnelle, les outils de cristallisation du savoir, ou encore de mesure d’activité. A noter que la bonne conduite des activités et de la communication au travail rentre dans le cadre des certifications et du contrôle qualité. (Un article pour approfondir : Des motifs de l’entreprise à la motivation des acteurs).
Plan de communication et moyens d’actions
Ce n’est pas un secret, pour rentrer dans la bataille, il vaut mieux avoir des armes bien fourbies et un plan bien préparé. Quand les Alliés ont débarqué sur les côtes normandes, ils avaient même deux sortes de plans, l’un pour la stratégie et l’autre pour l’action.
Le plan stratégique s’appelait « Overlord » et le plan d’action, moins connu, s’intitulait « Opération Neptune ». Ainsi pas de stratégie complète et efficace sans déclinaison des objectifs d’une part et des moyens d’autre part. Pour aller plus loin vous pouvez lire « La Stratégie de communication ou quand la fin justifie les moyens ».
Conception & rédaction
- Gestion de contenu
Si l’on ne doit évidemment pas réduire la communication à une simple activité d’information, il faut s’accorder sur ce point: il n’y a pas de bonne communication sans une bonne pratique de l’information ; un titre qui percute, une bonne accroche, un chapeau qui vous scotche et la partie est plutôt mieux engagée. Que ce soit pour une plaquette ou pour un texte fébrilement balancé en ligne, le respect des techniques d’écriture de presse s’impose. Certains comme Baudelaire font des rimes sans en avoir l’air, d’autres se gargarisent de métaphores ou abusent de bons mots… l’essentiel c’est que l’info passe et que votre lecteur lise jusqu’à la fin vos paragraphes de prose auxquels il ne faut surtout pas oublier de placer ce point. (A lire aussi : Techniques d’écriture de presse et valeur informative : les secrets d’un bon contenu)
- Référencement SEO
Jadis on nourrissait les moteurs de recherche de keywords, ces mots magiques qui en une seule énumération savamment cachée dans le code, vous permettait de sortir premier sur Google et consorts. On y a mis bon ordre et aujourd’hui pas de bon référencement sans payer ou sans respecter le dieu SEO (Search Engine Optimization). Comment ça marche ? Le plus naturellement du monde : un contenu hiérarchisé et bien balisé, des mots clés jetés au fil de l’eau et des redondances parfois un peu lourdes, qui rappellent à tous avec insistance comment vous vous appelez et ce que vous faites de mieux dans la vie ! Aujourd’hui les outils SEO se perfectionnent et si ce site utilise Yoast, des outils plus puissants tels SEMrush ou Ahrefs permettent non seulement l’optimisation de contenu mais encore mieux, d’opérer une analyse concurrentielle de mots clés.
- Typographie, orthographe et syntaxe
En plus d’apporter un peu d’érudition, une formation littéraire permet aussi de mieux maîtriser la langue française ou de manier plus facilement les règles de l’orthographe et de la syntaxe. Ça ne met pas à l’abri des coquilles ou des fautes d’inattention, mais c’est là un atout de taille : un gage de crédibilité et d’adhésion au message. C’est tout ce qu’on y gagne ? C’est peut-être là l’essentiel. Et la typographie vient parfaire le travail pour placer au mieux la ponctuation et, à l’occasion, faire de jolis textes en drapeau ; une activité par là même justifiée.